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Colloque Où en est la rue face à la globalisation ?

Jeudi 27 et vendredi 28 novembre 2008

Bordeaux
 
 

Programme

- 8h30 : Accueil des Participants
- 9h00 : Ouverture du colloque
Singaravelou, Président de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux 3

Guy Di Méo, Directeur de l’UMR ADES

Philippe Schar, Directeur d’ADES/TEMPOS

- 9h15 : Présentation des organisateur(e)s : Objectifs du colloque, logistique du colloque.
- 9h30 : Conférence introductive

Thierry Paquot, philosophe-urbaniste, professeur, Université Paris 12

Discutant : Olivier Ratouis, urbaniste, professeur, Université de Bordeaux 3.

- 10h20 : Pause café
- 10h30 : Conférence de Cynthia Ghorra-Gobin, géographe, directrice de Recherche CNRS, IEP, Université Paris 4)

« La rue ou comment penser cette figure symbolique à l’heure globale ».

Discutant : Yves raibaud, , sociologue, géographe, MCF, Université de Bordeaux 3.

- 11h20 : Conférence de Michel Parazelli,géographe, professeur, Université du Québec à Montréal – Canada

« Existe-t-il une morale globalisée de la régulation de la rue ? Réflexions autour de l’hypothèse d’un imaginaire écosanitaire »

Discutante : Marie Morelle, géographe, MCF, Université Paris 1

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Argumentaire

L’objectif de ce colloque est de réfléchir à la notion de rue à la lumière des mutations générées par la globalisation. On entend par celle-ci l’extension du système capitaliste à l’ensemble de la terre, notamment par la diffusion d’activités humaines, mais aussi des signes culturels qui y sont associés. Dans ce nouveau contexte, les économies se caractérisent par une internationalisation, une tertiarisation (voire une « quaternarisation »), une privatisation, et leur interdépendance des unes envers les autres. Ce ne sont pas seulement les économies qui sont concernées par ce phénomène, mais aussi les politiques publiques, les cultures, les identités de classe et de genre, et les subjectivités. Ce processus multidimensionnel produit, pour ceux qui le défendent, de la pacification et peut favoriser la circulation des valeurs démocratiques, pour d’autres plus circonspects, des inégalités, des fragmentations socio-économiques, un accroissement des risques, et des vulnérabilités (sociales, environnementales, etc.)

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